Atterrissage acrobatique à Héraklion dans la tempête, vent de travers. Après avoir loué une voiture, nous avons cherché un hôtel par booking.com.

 

En quelques clics, nous avons sélectionné un hôtel en bord de plage. Nous y fûmes accueillis avec chaleur, mais il ne fut pas possible de de se baigner, un cyclone passait sur Athènes.

La Grèce des anciens, de l’Odyssée, de la colère ou de la dérision des dieux, des drapés de la statuaire antique. Superbe !

 

Nous avons filé vers l’ouest. Arrêt à Réthymnon pour grimper dans l’impressionnante forteresse vénitienne,  battue par le vent.

 

 

Nous avons retrouvé Yannis et Françoise (des amis du Café homérique à Paris)  dans le village de Stavros, au pied d’une grande falaise ocre, où a été tourné le film Zorba le Grec. La maison de famille de Yannis a été construite du temps où il n’y avait qu’une baraque de pécheur blottie à l’abri du charmant petit port, lequel n’a guère changé depuis. Dîner crétois au port de Xania.

 

Retour à Héraklion. Déjeuner au port. J’aime ces bateaux amarrés, prêts à affronter le grand large

 

 

Visite du Musée archéologique. Remarquable mise en valeur d’une civilisation vivante et heureuse.

Puis nous nous sommes dirigés vers l’est. Hôtel dans une ville touristique, des centaines de chambres insonorisées, climatisées, une organisation d’enfer. Tout ce qu’il faut pour une clientèle européenne middle class. Sauna, salles de gym… tout, pour pas si cher que ça ! Mais il faut aimer être pris en charge.

A l’approche d’Élounda, étape dans un hôtel plus familial. Avant de repartir, nous avons pu profiter d’une jolie plage, enfin baignable malgré les vagues.

 

À Élounda, nous avons assisté au mariage d’Astrid et Jérémy devant une petite chapelle orthodoxe, complètement entourée par la mer. Les coiffures, les chapeaux, les robes et les paroles tournoyaient dans le vent.

 

La réception et le brunch qui suivirent eurent lieu dans un genre de rbnb, perché au-dessus du golfe. Luxe !

 

 

Les jeunes déjeunèrent au bord de la piscine à moitié couverte.

 

 

De baignade en baignade dans une mer à 24 degrés, retour à Héraklion,  « Revenez-y » d’été bien plaisant ! »

 

 

Non loin de l’aéroport, Un étrange hôtel et la plage avoisinante, remplis exclusivement de Russes, personnel russe, baigneurs russes avides de soleil. Ils faisaient mentir leur réputation de rustres. Peu bruyants et discrets, (contrairement à beaucoup de touristes français !), ils portaient pour le dîner des tenues élégantes, légèrement désuètes.

A Paris, dix degrés de moins, mais une belle lumière entre deux nuages.